Un groupe de chercheurs américains a mené une étude auprès de 10 000 personnes de plus de 40 ans, incluant des participants ayant un historique de cancer et d’autres sans. Ces chercheurs ont conclu que la prévalence des troubles de la mémoire chez les personnes ayant des historiques de cancer ou de traitement contre le cancer est importante et le devient de plus en plus. Ils sont aussi arrivés à la conclusion que les professionnels de la santé doivent pouvoir évaluer les troubles de la mémoire et être préparés à les traiter chez ces patients.
Pour faire face aux agents cancérigènes et à l’agressivité de certains traitements, notre système immunitaire doit travailler de façon précise et mettre en marche son mécanisme de manière efficace.
Les substances immunocompétentes utilisées en micro-immunothérapie (comme par exemple les facteurs neurotrophiques et les facteurs de croissance nerveux) peuvent aider à réguler ces troubles de mémoire chez les patients ayant des historiques cancérigènes.